Dans cette première vidéo, Émilie explique ce qu’est le psychotrauma : une blessure émotionnelle ou psychique, parfois liée à un (ou plusieurs) événement brutal et inattendu, parfois à des besoins essentiels non comblés durant l’enfance.
Ces blessures, souvent invisibles, laissent des traces profondes
Comprendre ce qui se joue à l’intérieur de nous est une première étape pour accueillir ces blessures avec plus de douceur et de lucidité.
RAPPEL URGENT! PAS MESAZ: MERSILes reportages sur des personnes décédées par suicide doivent être traités avec une extrême précaution, car ils peuvent entraîner des effets d’imitation et favoriser d’autres comportements suicidaires selon les informations communiquées.
A tous les médias: Nous avons besoin que puissiez être des allié.e.s dans la protection des jeunes.
Chaque mot, chaque image a un impact. La manière dont vous traitez les informations liées au suicide, est essentielle.
Ensemble nous pouvons promouvoir une culture d'entraide, de soutien et de solidarité.
Au sein de Konekte nous avons redigé des recommandations pour les médias, inspirées notamment du document de l'OMS (2023).
Ce, pour contribuer à votre couverture du suicide.
Ensemble, agissons pour mieux prévenir les comportements suicidaires.
Hier, Melanie Vigier de Latour-Berenger a animé une conférence dédiée aux violences en milieu scolaire au Hennessy Park Hotel.
Elle y a présenté les différentes formes de violences, leurs impacts sur les enfants, ainsi que les facteurs qui peuvent les favoriser. Elle a également rappelé l’importance d’agir ensemble pour construire des environnements scolaires plus sûrs et bienveillants.
L’événement a réuni 53 participant.e.s : ONG, membres de Konekte, psychologues et 𝑆𝑜𝑐𝑖𝑎𝑙 𝑤𝑜𝑟𝑘𝑒𝑟𝑠 du Ministère de l’Éducation, enseignant.e.s et membres du personnel d’établissements scolaires publics et privés.
Avant de clôturer la session, Mélanie a invité les participant.e.s à un exercice collectif autour d’une question essentielle : « Quoi faire ? »
Réuni.e.s en petits groupes, ils.elles ont réfléchi aux pistes de prévention, aux gestes possibles et aux actions concrètes qui permettent, chacun.e à son niveau, de mieux protéger et soutenir les enfants.
Un grand merci à nos partenaires, Hennessy Park Hotel et Eclosia, pour leur soutien.
Quand on entend qu' un.e enfant est victime de violences sexuelles, il urge de l'écouter, le.la croire et d’intervenir sur les plans médical, psychologique, social et légal, pour le.la protéger.
Si vous vous inquiétez pour un·e enfant, ou si un dévoilement survient, vous n’êtes pas seul.e. Des ressources et des professionnel.le.s sont là pour vous guider, vous soutenir et vous aider à accompagner l’enfant au mieux.
La protection des enfants passe aussi par la prévention.
Nous partageons quelques pistes qui peuvent aider: une éducation ouverte, une communication bienveillante et une vigilance partagée entre adultes.
Nous voulons rappeler les gestes essentiels : parler de développement psychosexuel et nommer les organes génitaux sans tabou, aborder les différentes formes de violence, expliquer les bons et mauvais secrets, poser des limites claires, observer les comportements, et connaître les ressources d’aide disponibles.
Nous avons créé cette affiche en 2024, elle reste d'actualité, à part le terme d'informations sur la sexualité que nous aurions privilegié à celui d'"éducation sexuelle".
Ensemble, créons un environnement où chaque enfant se sent entendu.e, respecté.e et en sécurité.
Hier, Melanie Vigier de Latour-Berenger, psychosociologue et membre de direction de Konekte, a animé une conférence consacrée à la compréhension des violences sexuelles faites aux enfants, commises par des proches de l'enfant dans la majorité des cas. Mineurs ou adultes.
À Maurice, plus de 405 cas sont rapportés en moyenne par an au CDU selon les chiffres de 2014 à 2024. Plus de 86 % des enfants victimes sont des filles. Ces chiffres sont incomplets.
Selon la Police qui recueille les informations sur les enfants victimes de commerce et d'exploitation sexuelle, plus de 191 situations en moyenne chaque année de 2017 à 2024 dont environ 93% concernent des filles. Ces chiffres sont indicatifs, ne reflètent néanmoins pas la réalité des violences underreported par peur, honte, menaces, proximité avec les auteur.e.s, honte, tabou, ki dimounn pou dir, etc.
Ont été aussi abordés: des définitions, les différents types de violences sexuelles avec ou sans contact et les conséquences diverses sur le développement des enfants victimes.
Elle a aussi rappelé l’importance cruciale d’intervenir et de protéger les enfants.
Mélanie a également partagé quelques pistes de prévention, essentielles pour renforcer la vigilance et la protection.
Merci à toutes les personnes présentes et engagées pour mieux comprendre, mieux agir et mieux protéger les enfants.
